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Les 4 Temps du Management - Réinventer le Management
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Les 4 Temps du Management

Futurologie

Quel avenir pour le post-mortem, source de pollution ?


Qu’est-ce que le développement durable ?

C’est une croissance des sociétés répondant aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. (Insee, 2016) 

L’article s’adresse à des professionnels du secteur funéraire, par exemple des pompes funèbres qui veulent proposer des offres funéraires en phase avec les problématiques environnementales. Le sujet environnemental étant un sujet d’actualité, nombreuses entreprises opérant dans divers secteurs prennent des responsabilités dans la préservation de l’écosystème. Le changement nécessaire pour parvenir à un avenir meilleur est induit par les clients de ces entreprises, qui doivent être informés quant aux opportunités mises à disposition pour contrer l’impact environnemental conséquent provoqué par les actions de l’Homme. 


Les différents rites funéraires, quels sont-ils ?

Qu’il s’agisse de l’inhumation ou la crémation d’un individu, celle-ci doit obligatoirement intervenir entre 24h et 6 jours suivant le décès. Le Code Général de Collectivités territoriales prévoit que lorsqu’une personne décède, sa mise en bière est obligatoire : les restes du défunt doivent être placés dans une housse imperméable, puis placés dans un cercueil scellé. 
Cécile H., Juriste spécialisée dans la Protection des Droits de l'Homme.


La crémation et l’inhumation, les techniques funéraires actuelles légales en France, constituent un impact environnemental conséquent. De ce fait, que pourrions-nous faire pour le réduire, voire le supprimer ?  

En effet, ces rites traditionnels sont très polluants. D’après une étude réalisée en 2017 par Durapole et Verteego, pour les SFVP (Services Funéraires de la Ville de Paris), les données récoltées auprès de fournisseurs et autres prestataires de services sont sans appel :   

- L’inhumation équivaut, en termes de CO2, à parcourir 260 209 kms en train, ou encore à 84% d’un aller-retour Paris/New-York en avion.  

- La crémation, quant à elle, revient à 72 677 kms en train ou encore à 23% d’un aller-retour Paris/New-York.  

Ces données indiquent, contrairement à l’imaginaire collectif, que la crémation est moins polluante que l’inhumation qui consiste à la mise en terre ou en caveau du défunt. 

Ces pratiques sont polluantes, mais les activités y afférant ont également un impact considérable sur l’environnement. 
 

Les grandes étapes listées par les SFVP sont telles que suit :  

Inhumation 

 Crémation 

  • Cercueil 

Fabrication, transport, déchets 

  • Transport du défunt 

  • Destination de l’inhumation 

Pleine terre, Caveau, Monument = 88% de l’impact* 

  • Gestion et entretien 

Entretien des espaces verts 

Fin de concession = 7% de l’impact (ossuaire, crémation, pulvérisation) 

  • Cercueil + Urne = 12% de l’impact 

Fabrication, transport, déchets 

  • Transport du défunt 

  • Crémation/Pulvérisation 

Gaz = 56% des émissions, électricité, réactifs, … 

  • Destination de l’urne 

 

La construction de crématorium représente 24% de l’impact. 

* Moyenne entre les inhumations pleine-terre et caveaux 

 

Les recommandations découlant de cette étude sont de tendre vers des éléments plus légers (cercueils plus légers, réduction de quantité de vernis et teinte, diminution du poids des monuments), de minimiser les trajets (fabrication et achats locaux) et de repenser la gestion des cimetières (réutilisation des caveaux existants, réduire la fréquence d’entretien des espaces, augmentation de la surface verte). 

De nombreuses alternatives écologiques ont vu le jour depuis que la question environnementale est devenue une priorité : nombreux acteurs ont compris l’enjeu et ont mis au point des procédés visant à réduire les effets indésirables des rites funéraires impactant l’environnement, à l’heure où les us et coutumes priment sur les croyances.  


Des urnes biodégradables

En 1997, Gérard Moliné et Roger Moliné inventent une urne biodégradable : Bios Incus (Anstett, 2015) - Cette méthode fut brevetée pour les Hommes en 2002. Une graine est contenue dans l’urne, composée à 100% de matériaux biodégradable, et permet au défunt de “devenir un arbre”. L’impact environnemental n’est pas supprimé car cette méthode nécessite une incinération, mais il est compensé par la finalité du procédé.  

Sur le même principe, l’entreprise anglo-saxonne Urnabios a mis au point une urne à cendres humaines visant à contrer l’effet négatif de la crémation par sa finalité : mise en terre des cendres, contenues dans cette urne, ainsi que de graines d’arbre. La question de pollution relative à la crémation n’est pas exclue car elle fait partie du procédé mais est compensée par le dernier aspect de l’urne qui permettra à un arbre d’être planté et de grandir en son sein.

L’inspiration de ces processus est le retour à la nature : 

 

Bios Urn ® - The Biodegradable Urn Designed to Grow a Tree (urnabios.com)  

 

 

L’humusation 

Ce procédé développé par les Belges consiste à envelopper le corps du défunt dans un linceul biodégradable et transporté dans un cercueil réutilisable. Il est ensuite déposé sur un lit végétal puis recouvert de ce même mélange composé de bois finement broyé, d’eau de pluie et d’argile, et sera ajouté par-dessus un mélange de paille, de feuilles mortes et de tontes de pelouse.  

Les ”humusateurs” retire les prothèses métalliques et autres corps étrangers au bout de 3 mois lorsque les os sont nettoyés puis reforme la butte de la même façon qu’au départ. Après 12 mois, le corps est totalement décomposé et constitue alors 1.5 m3 d’humus fertile qui sera utilisé pour la plantation de 100 arbres.  
 

L'humusation, de la permaculture ultime ?

Ecolo-bio-nature

 

Les points positifs de cette méthode sont l’absence de cercueil qui constitue, comme précité, un fort impact. Ce procédé est également peu coûteux et n’a aucune répercussions négatives sur l’environnement. Ses créateurs parlent de “processus de remise à la terre (…) respectueux de la personne et durable”.


Promession 

Pour faire face à la pollution de l’Incinération et de l'inhumation, des chercheurs ont trouvé d'autres procédés moins polluants et dit “bio”. En 2001, la biologiste suédoise Susanne Wiigh-Mäsak a ainsi breveté un processus funéraire nommé « Promession » (Anstett, 2015). La promession consiste à congeler le corps humain premièrement, puis de sécher l’eau du corps à l’aide d’un liquide afin de le réduire en poudre par la suite à l’aide de vibration.  

Seuls quelques pays (Suède, Angleterre, Afrique du Sud et Corée du Sud) autorisent cette nouvelle pratique funéraire. Les avantages de cette méthode est qu’elle génère aucune émission de gaz à effet de serre, aucune vapeur toxique et le compost est fertile et utile pour la Terre. 
 

Résomation 

Un autre procédé présenté comme “écologique” existe qui est la résomation, initialement utilisé pour les animaux, ce procédé est désormais utilisé pour les corps humains. Inventée par Sandy Sullivan et brevetée en 2007 aux Etats-Unis, ce processus permet de se débrasser des cadavres en les dissolvant par hydrolyse alcaline à l’intérieur d’une grande cuve en inox. Suite à cela il ne reste plus qu’un liquide stérile qui est réintroduit dans le cycle de l’eau et des résidus de matière osseuse qui sont rassemblés d’en une urne pour la famille (Anstett, 2015). 
 

A ce jour, la crémation et l’inhumation, procédés très polluants, sont les seuls rites funéraires légaux en France. Les autres rites existants se démocratisent peu à peu à l’étranger, en Belgique et Angleterre par exemple. 

La raison pour laquelle ces rites révolutionnaires ne sont pas autorisés en France est le rapport à la culture induite par le christianisme, berceau du pays : le corps de la personne décédée doit être mis en bière (placée dans un cercueil). On parle également de raisons sanitaires et de praticité quant au déplacement du défunt. 

Ainsi ses différentes alternatives écologiques sont incompatibles avec certaines religions où le corps du défunt se doit être “respecté”. 
 


Ethique : La religion et l’environnement font-ils bon ménage ?

Islam et Christianisme :  

En comptabilisant un peu moins de 5 milliards d’adhérents à travers le monde (2,05 milliards pour l’Islam et 2,5 milliards pour le Christianisme) et des nombres annoncés à la hausse pour les prochaines années, nous pouvons aisément constater l’importance de ces deux religions. 

Chacune de ces deux religions se constituent de croyances et de coutumes différentes. Le rite funéraire est un acte très important et qui suit des règles très précises.  

 

Rite funéraire & Islam

  1. La préparation  

Dans l’Islam, le rite funéraire pratiqué est l’inhumation.  

Avant toute chose, une fois la personne décédée, le défunt est préparé. Ses yeux et sa mâchoire sont fermés, son corps et sa tête sont tournés vers la Mecque. Une fois cela fait, les laveurs effectuent une toilette purificatrice très minutieuse. 

Le corps est lavé 3 fois puis essuyé et enveloppé dans un nombre impair de tissu blanc (généralement 3 pièces d’étoffe blanche non cousues). Le tissu est par la suite refermé par des fils afin de le maintenir. 

  1. La mise en terre 

Pour le transport, aucun cercueil n’est de rigueur. Le défunt est enroulé d’un drap blanc et est transporté par quatre hommes sur une civière. Une fois tous les rites réalisés par les proches du défunt et l’homme de Foi présent, le corps du défunt est directement mis en terre simplement enroulé de son drap.  

Cependant, il est important de relever qu’en France, contrairement à de nombreux autres pays musulmans ou non, la mise en terre doit obligatoirement se faire dans un cercueil. Pour ne pas enfreindre la loi, les musulmans morts et enterrés en France sont disposés dans un cercueil en bois très fin sans capiton.   

Lorsque l’absence de cercueil est respectée, ce rite funéraire peut être considéré comme écologique, les seuls « déchets » étant défunt et le linceul.  

Cependant, puisque la loi Française n’autorise pas la mise en terre sans cercueil, 80% des Français musulmans sont inhumés dans leur pays d’origine. 

Cependant, Cécile, Juriste Spécialisée dans la Protection des Droits de l’Homme, nous confie que quelques propositions ont été faites par le gouvernement afin de légaliser d’autres méthodes funéraires, notamment l’humusation. Pour l’instant le législateur reste réticent et aucun progrès concret n’a été fait dans ce sens. 

 

Rite funéraire et Christianisme 

Dans le Catholicisme, le défunt est habillé et embaumé par une équipe de professionnels avant d’être disposé dans un cercueil (mise en bière). Ce cercueil doit être accompagné d’une croix ou d’un crucifix pour être accepté par l’Église, ce qui ajoute une matière « polluante » supplémentaire. L’inhumation est le rite privilégié dans cette branche, cependant, la crémation est autorisée depuis 1963.  

La branche Protestante a un rituel différent puisque la crémation est la pratique la plus courante. Lorsqu’une personne décède, la famille et le pasteur se rendent au crématorium pour effectuer la cérémonie. 

Dans ces deux branches, le dépôt de fleurs est autorisé lorsque des proches rendent visite au défunt. 

Pour conclure, le caractère sacré de l’inhumation et de la crémation en France ne laisse pour l’instant pas la place à des méthodes alternatives plus écologiques. 
Cécile H., Juriste spécialisée dans la Protection des Droits de l'Homme.


Le marketing des services funéraires

Il n’existe pas de marketing funéraire à proprement parler. La chaîne de valeur de la mort est encore un sujet tabou. Cependant, le secteur des pompes funèbres évolue et se modernise avec l’e-funéraire, l’innovation technologique. Son marketing est davantage en ligne c’est pourquoi pour une entreprise des pompes funèbres il est utile d’avoir : 

– un site web informatif, optimisé pour les moteurs de recherche et attrayant 

– une présence active sur les réseaux sociaux 

– une marque définie (design, soins, etc.)  

– des documents structurés et clairement disposés qui reflètent l’offre 
 

Le choix des cercueils

Le numérique partie intégrante du quotidien et les pompes funèbres se sont elles aussi lancées à la conquête du web en offrant leurs services en ligne. Il existe désormais des boutiques virtuelles qui proposent un grand nombre de tombes, d’urnes, de plaques tombales très classiques ou plus modernes, le produit phare du moment est la plaque plexiglas transparent . Comme dans un magasin physique, les modèles des articles sont personnalisables en quelques clics : photos, textes, motifs, matière, capiton, plaque identité, etc. 
 

La commémoration en ligne

Il est possible de célébrer une personne disparue et de se recueillir en ligne. Ces lieux de mémoire en ligne sont des sites internet, comme des espaces de partage, sur lesquels la famille, les amis et les proches qui y ont accès peuvent poster du contenu (photographies, vidéos, textes, etc.). L’accès peut être limité à certaines personnes ou être ouvert à tous selon les choix des auteurs. Certains de ses services donnent même la possibilité d’allumer des bougies virtuelles ou encore de créer des journaux de vie. 
 

Les QR codes sur les pierres tombales

Une fois scannée, ces codes-barres permettent d’accéder à un site en ligne de mémoire qui contient une sorte de biographie du défunt sous forme de vidéos, de photos ou de textes. Le principe est le suivant : les clients doivent acheter auprès d’une entreprise spécialisée le médaillon avec le code barre ainsi que l’espace en ligne puis écrire et publier ce qu’ils désirent. 

Un QR Code pour immortaliser le souvenir d'un proche | Bilan
Un QR Code pour immortaliser le souvenir d'un proche

 
 

Les coopératives funéraires

Le secteur funéraire change, jusqu’aux acteurs. En effet, aux côtés des pompes funèbres traditionnelles, des coopératives funéraires voient de plus en plus le jour. Plus éthiques, solidaires, plus à l’écoute, moins intéressées et coûteuses, les coopératives sont gérées par des associations, des salariés ou des particuliers. Elles accompagnent, conseillent et éclairent les familles sur les différents choix funéraires (cercueil, musique, accessoires, etc.). 


Les Ressources Humaines dans le secteur funéraire

La RH a diverses missions dans ce domaine car il y a de multiples services tels que :  

- Les services de crémation (crématoire)  

- Les services de marbrerie  

- Les fleuristes à proximité des cimetières  
 

Livraison de fleurs dans les cimetières
fleuriste
 

On y retrouve plusieurs types de métiers : Croque mort, fleuriste, employé de cimetière, garde des cimetières, chargé d'accueil au sein des pompes funèbres intercommunales (PFI), (les hommes religieux étant exclus).
Les métiers de ce secteur sont amenés à évoluer de plus en plus avec les années, pour répondre à la demande de plus en plus grande des familles qui souhaitent plus d’accompagnement et plus de services qu’il y a quelques années.  
 

Le secteur funéraire peine encore à recruter, car c’est un secteur que l’on connait peu et qui a tendance à avoir une mauvaise réputation. Pourtant aujourd’hui, le nombre d’entreprises dans le secteur mortuaire est en pleine croissance, tout comme le nombre de morts qui devrait augmenter de 600 000 à 800 000 par an d’ici 2050 en France, du fait de l’augmentation démographique mais aussi de la mortalité des papy-boomers, qui selon l’INSEE devrait débuter en 2030.  
 

Cette industrie, bien qu’elle soit encore un sujet tabou, rencontre de nombreuses innovations sur les différentes pratiques, sur les produits (Bornarel et Delacour, 2017). De ce fait, celle-ci recrute de plus en plus de collaborateurs, pour répondre aux évolutions sociétaires auxquelles nous faisons face : dérèglement climatique, montée des crémations, augmentation du nombre de décès, désir concernant la prévoyance des obsèques, …  

De plus, le secteur funéraire n’est pas délaissé par le dérèglement climatique. Effectivement la transition écologique qui s’opère depuis plusieurs années, a fait naitre de nouveaux métiers, tels que consultant funéraire écologique.  
 

Auparavant, très masculin, le secteur se féminise de plus en plus. Dû à la séparation de l’église et de l’état, qui s’est fait que très tard, les femmes ont été pendant longtemps écartées de ce secteur. Elles ont commencé à intégrer ce secteur que bien plus tard, pour leur capacité d’écoute et leur empathie. Aujourd’hui, le secteur reste encore majoritairement masculin avec 30% de femmes, mais il reste à penser que les femmes vont de plus en plus s’imposer dans ce secteur au fil des années.  

Dans un second temps, nous pouvons voir qu’il existe de plus en plus d’innovation dans le secteur funéraire, qui font émerger de nouveaux métiers.  
 

A l’heure où la question écologique pèse lourd, certaines entreprises vont à l’encontre du principe de préservation de notre environnement en proposant un service détonnant : à Montpellier, une entreprise propose un concept discutable en dispersant les cendres des défunts après crémation dans la stratosphère par le biais d’un ballon d’hélium. C’est une pratique déjà adoptée par deux entreprises américaines à l’heure actuelle surnommée “vaisseau mémorial”. 


La stratégie d’entreprise dans le secteur des pompes funèbres

Ce secteur bénéficie de phénomènes structurels favorables : 

Tout d’abord, l’épidémie de covid a augmenté le nombre de décès en France ce qui a augmenté la demande du secteur. On observe donc une hausse moyenne de 3% du chiffre d’affaires global des entreprises de pompes funèbres. A noter que les années 2020 et 2021 ont enregistré une hausse des profits de 5%.  

Par conséquent, comme le marché est devenu plus attractif, le nombre d’acteurs à s’être introduit sur ce marché a augmenté. Ainsi, l’intensité concurrentielle est tel que les prix ont peu augmenté relativement à l’inflation.  
 

Cette structure du marché des pompes funèbres amène les acteurs à mettre en place différentes stratégies : 

La première stratégie est que la forte augmentation des décès a conduit les entreprises de pompes funèbres a proposé des contrats de prévoyance obsèques. Il s’agit d’une cotisation qui permet de réduire le prix des obsèques une fois que le décès se produit. Et cette stratégie a porté ses fruits puisque le nombre de contrats souscrits a grandement augmenté. 

La deuxième stratégie des acteurs du secteur se traduit par la hausse de la privatisation des crématoriums. En effet, la part des personnes qui souhaite la crémation a augmenté face à l’inhumation. Ainsi on observe une hausse des constructions de crématorium privé afin que les entreprises de pompes funèbres maitrisent l’ensemble de la chaine de valeur.  

 

Globalement, ces stratégies portent leurs fruits car la rentabilité a fortement augmenté entre 2014 et 2021. On est passé d’un résultat net qui représente 4,2% du chiffre d’affaires à 8,2% aujourd’hui.  

Par conséquent, les entreprises de pompes funèbres ont des marges de manœuvre suffisantes pour pouvoir réduire significativement leur empreinte carbone par une inhumation plus respectueuse de l’environnement. D’autant plus, que de moins en moins de personnes souhaitent se faire inhumer donc cela impactera moins leur chiffre d’affaires. 


Bibliographie

Humusation - Processus naturel de compostage du corps humain - Accueil. (2022, 6 février). HUMUSATION. https://www.humusation.org/  

Anstett, É. (2015). Les funérailles « bio »: La mort et les idéologies environnementales au xxie siècle. Communications, 97, 147-159. https://srvcl-ezproxy.esc-clermont.fr:2093/10.3917/commu.097.0147  

J. (2014, 19 novembre). Un secteur en pleine mutation : tour d’horizon de l’économie funéraire ! FRANCE ATTRACTIVE. https://www.franceattractive.com/actualites/un-secteur-en-pleine-mutation-tour-dhorizon-de-leconomie-funeraire/  

lassurance-obseques.fr. (2018, 14 mars). Les rituels funéraires selon les religions | Étude. https://www.lassurance-obseques.fr/formalites-apres-deces-intro/rituels-funeraires-selon-les-religions/  

Nos engagements. (s. d.). Advitam. https://advitam.fr/a-propos-des-pompes-funebres-autrement  

Urn, B. (2021, 24 novembre). Bios Urn ® - The Biodegradable Urn Designed to Grow a Tree. Bios Urn. https://urnabios.com/  



Anissa Meziane, Ludmila Courbet, Gwladys Martins, Jimmy Lafont, Hasna M'barki, Quentin Morisset - Groupe 14 - Etudiants Groupe ESC Clermont (Master in Management)
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Commentaires articles

1.Posté par Gazazian le 07/06/2022 12:28 | Alerter
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Très bon article clair instructif et bien documenté
À très vite pour lire vos nouvelles parutions

2.Posté par Engel le 07/06/2022 12:47 | Alerter
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Article très intéressant et hors du commun.

3.Posté par Brourhant le 07/06/2022 13:21 | Alerter
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Sujet très intéressant et très documenté un angle d approche different de ce a quoi on pense..

4.Posté par anjayani le 28/06/2022 18:43 | Alerter
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Ethereum pioneered blockchain-based smart contracts, and features a space-optimized virtual machine named the Ethereum Virtual Machine or EVM. Several programming languages target the EVM, of which the first and most widely used is Solidity.

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